lundi, avril 18, 2016

Récapitulatif notes Bordeaux Primeurs de 2009 à 2012, et pourquoi cela s'est arrêté

Pour la première fois en 2010, j’ai publié des notes de dégustations sur les primeurs de Bordeaux. Je m’y rends chaque année depuis 19xx, j’étais dans les plus jeunes, cela n’est plus le cas. Il est impossible pour quelqu’un comme moi, sans grande infrastructure, de goûter tout ce qui se fait à Bordeaux. Donc je picore, chaque année sans a priori, et je garde mes notes pour le moment où les vins arriveront sur mon marché, celui des ventes aux enchères – au minimum cinq ans.
J’ai reporté ces notes sur des pages perso de qualité moyenne, mais informatives. On peut les retrouver, sans quelques photos perdues au hasard d’un très méchant virus, aux adresses suivantes :
http://latruitedequenecan.pagesperso-orange.fr/GrandsVins/Primeurs2009.htm
Millésime 2009, avec une classification à part pour les vins très dominants en merlot (90% et plus).

http://latruitedequenecan.pagesperso-orange.fr/GrandsVins/Primeurs2010.htm
Où j’expose le postulat qu’on peut déguster les primeurs le nez bouché. Où l’alcool devient dominant. Où l’auteur regrette avec aigreur que les Graves blancs soient plus chers que les Graves rouges.

http://latruitedequenecan.pagesperso-orange.fr/GrandsVins/Primeurs2011.htm
Où la photographie s’impose dans le compte-rendu. Où par apriori je me méfie des a priori. Où Parker… et les chevaux de labour loués au jour pour satisfaire l’objectif des journalistes.
Que j’étais méchant alors : « Fonbrauge à 21 euros, c'est du Fombrauge. Alors que Magrez Fombrauge à 112 euros, c'est du Magrez ». Aussi en parlant des journalistes grégaires mais farouches.
Où l’on peut voir Parker devant le plan d’eau du Château Lagrange.

http://latruitedequenecan.pagesperso-orange.fr/GrandsVins/Primeurs2012.htm Où sombre Sauternes.
Où l’on réapprend qu’un millésime d’une certaine qualité, succédant à deux grands millésimes, est très disqualifié par les commentaires.

http inexistante : Primeurs 2013 Je n’ai pas retranscrit mes notes sur les Bordeaux 2013. Faute en premier d’une panne informatique de grande envergure. Faute ensuite de ma déception globale devant ces vins, qu’un critique a qualifié de « plus mauvais millésime depuis cinquante ans », ce qui est injuste sans doute.

http inexistante : Primeurs 2014 Pas venu aux primeurs. Pas le temps.
2015, mon retour. Mais le lecteur a déjà vu cela plus haut.

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